Louis Benech, architecte paysagiste

Né d’un père architecte et d’une mère passionnée par les plantes, Louis Benech, commence par suivre des études de droit. Son diplôme  en poche, il préfère finalement écouter sa passion, et s’engage comme apprenti en Angleterre, dans les renommées pépinières Hillier.

C’est là qu’il apprendra tout sur les plantes. Encore aujourd’hui, lorsqu’il cherche une précision sur une plante, c’est son vieux catalogue Hillier qui consulte.

Des lieux chargés d’histoire

Jardin des Tuileries, ParisEn 1990, alors qu’il vient juste de débuter son métier d’architecte paysagiste, un concours est ouvert pour l’aménagement du jardin des Tuileries. Il s’associe avec un ami paysagiste, Pascal Cribier. Contre toute attente, les deux concepteurs méconnus remportent le concours pour aménager ce jardin séculaire, initialement dessiné par Le Notre.

Louis Benech adore travailler dans des sites historiques. Jardin de château, propriétés luxueuses dans des lieux sublimes, sont ses terrains de jeu favori.
Mais il lui arrive aussi de créer, bénévolement, des jardins pour des HLM, des hôpitaux, ou des maisons de retraite.

La nature comme source d’inspiration

Pour le paysagiste, c’est grâce à la générosité de la nature que ses jardins sont appréciés. Il pense ce lieu commun un havre protecteur, dans un monde où tout s’est accéléré, où l’on peut apprécier ces moments « égoïstes et exquis, lorsqu’on est un peu seul. Ce lien entre la vie et nous, sans mots, sans grossièretés. »

Approche conceptuelle

Lorsque Louis Benech entreprend un projet, il s’intéresse d’abord à l’histoire du jardin. Il en dégage ensuite les points forts, puis s’intéresse aux habitudes présentes dans ce lieu. Il étudie le mouvement des circulations, les perspectives, le rapport entre espace et matière. Enfin, il s’attache à limiter l’entretien du jardin au maximum.

Sensibilité écologique

Le concepteur de jardin choisit toujours en priorité des plantes indigènes. C’est son expérience des terrains méridionaux qui lui a appris à travailler avec des plantes que l’on arrose peu.
Il milite contre les excès d’arrosage, et de traitement chimique.

Où voir des jardins de Louis Benech :

Né d’un père architecte et d’une mère passionnée par les plantes, Louis Benech,

commence par suivre des études de droit. Son diplôme  en poche, il écoute

finalement sa passion, et s’engage comme apprenti en Angleterre, dans les

renommées pépinières Hillier.
C’est là qu’il apprendra tout sur les plantes. Encore aujourd’hui, lorsqu’il cherche

une précision sur une plante, c’est son vieux catalogue Hillier qui consulte.

Des lieux chargés d’histoire

En 1990, alors qu’il vient juste de débuter son métier d’architecte paysagiste, un

concours est ouvert pour l’aménagement du jardin des Tuileries. Il s’associe avec

un ami paysagiste, Pascal Cribier. Contre toute attente, les deux concepteurs

méconnus remportent le concours pour aménager ce jardin séculaire, initialement

dessiné par Le Notre.

Louis Benech adore travailler dans des sites historiques. Jardin de château,

propriétés luxueuses dans des lieux sublimes, sont ses terrains de jeu favori.
Mais il lui arrive aussi de créer, bénévolement, des jardins pour des HLM, des

hôpitaux, ou des maisons de retraite.

La nature comme source d’inspiration

Pour le paysagiste, c’est grâce à la générosité de la nature que ses jardins sont

appréciés. Il pense ce lieu commun un havre protecteur, dans un monde où tout

s’est accéléré, où l’on peut apprécier ces moments « égoïstes et exquis, lorsqu’on

est un peu seul. Ce lien entre la vie et nous, sans mots, sans grossièretés. »

Approche conceptuelle

Lorsque Louis Benech débute un projet, il s’intéresse d’abord à l’histoire du

jardin. Il en dégage ensuite les points forts, puis s’intéresse aux habitudes

présentes dans ce lieu. Il étudie le mouvement des circulations, les

perspectives, le rapport entre espace et matière. Enfin, il s’attache à limiter

l’entretien du jardin au maximum.

Sensibilité écologique

Le concepteur de jardin choisit toujours en priorité des plantes indigènes. C’est

son expérience des terrains méridionaux qui lui a appris à travailler avec des

plantes que l’on arrose peu.
Il milite contre les excès d’arrosage, et de traitement chimique.

Semis de fleurs en février, pour balcon et terrasse d’été

C’est encore l’hiver, mais il y a déjà des choses à faire pour le jardin !
Voici des fleurs que vous pouvez semer dès février, au chaud (serre, véranda, ou à l’intérieur) pour préparer de magnifiques potées d’été, sur votre balcon ou terrasse.

Ageratum
(recouvrir très légèrement)
Bégonia
(ne pas recouvrir)
Géranium Giroflée d’hiver
Impatiens
(ne pas recouvrir)
Lobelia
(recouvrir très légèrement)
Pétunia
(ne pas recouvrir)
Verveine
(peut attendre mars)

Semez ces graines en terrine, repiquez-les au bout d’un mois, et plantez-les en mai en pot ou jardinière.

Astuce
Lorsque les graines sont très fines (bégonias, impatience, pétunias), arroser-les au pulvérisateur pour qu’elles ne soient pas emportées avec l’eau.

Voir un aménagement en potées, jardinières,
et suspensions sur un balcon

Un balcon pour l’été

Voici un exemple d’aménagement de balcon ou terrasse, dans la tonalité rose, pour une floraison tout l’été.
Des touches de blanc sont apportées, pour ouvrir et rythmer le camaïeu rose.

Géranium, impatiens, et verveine peuvent être semées dès la deuxième moitié de l’hiver.

Surfinias, en suspension

Anthémis, en pot

Fuchsia, en jardinière

Géranium lierre rose + verveine blanche, en jardinière

Impatiens, en jardinière

Verveine, en jardinière

Quelques conseils :

  • Pour avoir une belle floraison, il est important de fertiliser souvent.
    La pousse sera alors assez fournie pour faire disparaitre les pots.
  • Par les chaudes journées d’été, arroser quotidiennement.
  • Coupez les fleurs fanées

Persistant

Plante qui conserve son feuillage en hiver.

La plupart des conifères sont persistants.

D’autres végétaux à feuilles plus larges que les conifères peuvent être persistants. Leurs feuilles sont alors souvent plus épaisses et coriaces que celles des plantes à feuillage caduc (qui tombe durant l’hiver).

Enfin, des végétaux peuvent être semi-persistants :

  • soit qu’ils perdent seulement une partie du feuillage
  • soit qu’ils la conservent sous une forme rousse, comme le charme. On dit dans ce dernier cas qu’ils sont marcescents.

Sol drainé

Sol permettant à l’eau de bien s’écouler en profondeur.

Les sols sablonneux sont naturellement drainés, parfois trop.

Les sols argileux, au contraire, retiennent naturellement l’eau et ne sont donc pas drainés. Lorsqu’ils la retiennent trop, certains types de plantes peuvent en souffrir. Il faut alors réaliser un drainage, pour permettre à l’eau de s’évacuer.

Division de plantes

Modes de multiplication des plantes, qui consiste à diviser une plante ayant déjà bien accompli sa croissance, en plusieurs petites plantes.
Ceci dans le but de les replanter à côté du pied mère pour étendre sa surface, ou de les replanter plus loin dans le jardin.
Concrètement, on découpe la motte ou la touffe en plusieurs morceaux, à la main ou à l’aide d’une bêche.